Fiche Lys

<center><div class="annexes"><center>
<div class="cadre1">
<div class="pseudo">Lys Waterford</div>
<div class="rang">And scars will lighten, they’ll pale. Wait long enough, they’ll fade.<br>
</div></div><center><table><td><img src="http://68.media.tumblr.com/7664fb0ca3054c42976e23a10057698f/tumblr_oc7f6tVlUd1vvmskxo3_r1_250.png" class="gifstory2"></td><td><img src="http://68.media.tumblr.com/39e4646d959cecf61ae14203b23c9b4f/tumblr_oc7f6tVlUd1vvmskxo6_r1_250.png" class="gifstory2"></td><td><img src="http://68.media.tumblr.com/2f74e364f02857651378bb3f35d0c031/tumblr_oc7f6tVlUd1vvmskxo5_r1_250.png" class="gifstory2"></td></table></center><div class="cadre7"><w>prénons et nom - </w> donnons lui le printemps avant l'hiver, offrons lui la lumière plutôt que les ténèbres, tentons de renverser la balance vers la pureté, toujours vers la royauté : Lys, elle en est loin, souvenir fugace de perséphone. Waterford, banal patronyme pour la gamine, il y en a tant et il ne lui reste que cela de lui. <w>âge et lieu de naissance - </w> fille d'été, fille de juillet, sa floraison date du 6, depuis trente ans déjà elle brise les bougies de l'ombre de sa mère. Qui  saurait où elle est née, si ce n'est la déesse absente de sa vie. <w>nationalité et origines - </w> si son nom reflète le symbole de la royauté du pays, elle n'a jamais eu aucune attaches à la France. Elle est certaine que son père est un anglais de passage, et que sa mère souhaitait l'éloigner de ce triste personnage qui a choisi de l'abandonner. <w>occupation - </w> Instruire les pauvres âmes en botanique pour l'éloigner de la nécromancie, l'éloigner des ombres qui lui offre son masque préféré, elle se passionne cependant pour l'herbologie, preuve que sa mère n'a pas tout perdu. <w>statut civil - </w> empêtrée dans des draps de coton, elle soupire auprès de son comparse au torse d'acier : elle partage le lit de Trystan Sparks, souvent, en découle une proximité touchante, bien que dévastatrice. <w>orientation sexuelle - </w> ses phalanges aiment les corps masculins, son âme aime ce qu'elle peut aimer, biromantique, hétérosexuelle pour les intimes. <w>date d'arrivée au camp - </w> sa bouche soufflait à peine sur un dessert invisible qu'on l'emportait pour rencontrer sa mère à son dix-huitième été. <w>parent divin - </w> la grenade pour enfer, elle dégoupille la terre fertile pour y voir bourgeonner ses enfants, perséphone la binaire, l'incomprise, l'eve de ténèbres, fleur de printemps. <w>pouvoirs - </w> la tige s'étale en hauteur, pour laisser s'ouvrir les pétales immaculés, innocence tangible d'un monde en perdition. Chlorokinésie, les plantes lui parlent et lui obéissent. et quand la nécromancie porte sur ses épaules le poids d'une âme en peine, elle maudit sa mère. souvent, la morte lui susurre à l'épaule, douloureuse torture inévitable. enfin, son masque, ses ombres, les fils invisibles qu'elle tire lorsqu'elle en a besoin, umbrakinesie.  <w>défaut mortel - </w> ils murmurent son nom, mais lys, ça glisse sur la langue, ça siffle tel un serpent. elle les entend tous, et elle est sûre qu'ils parlent tous d'elle, pour se débarasser d'elle, parce qu'elle est trop sombre, décevante. Paranoia, l'étrange et terrifiant défaut. <w>arme(s) -</w> le corps à corps et les attaques furtives sont son allié, ainsi qu'une cuillère aiguisée. Elle n'a jamais eu de talents avec les vrais armes, elle préfère ses ombres et les plantes, fidèles alliées silencieuses. <w>particularité physique -</w> les poignets marquées par des griffes acérés, on pourrait presque croire qu'elle a tenté de mettre fin à sa vie au vu des strilles qui habillent sa peau. Elle n'a qu'une beauté banale loin de faire palir les enfants d'appolon. <w>localisation -</w> elle s'étend dans son lit confortable, le frère pour gardien, réfugiée dans le camp, en sécurité de tout, mais surtout d'elle même. <w>groupe -</w> thebes <w>avatar et crédits -</w> kate mara - BONNIE </div><table><td><div class="cadre12"><w>réservée</w> - <w>paranoiaque</w> - <w>indépendante</w> - <w>impulsive</w> - <w>attachante</w> - <w>réelle bipolarité qui lui vient de sa mère</w> - <w>loyale</w> - <w>pessimiste</w> - <w>perspicace</w> - <w>sombre</w>
<hr>
<w>la relation avec ton parent divin -</w> l'animosité ne lui sied guère. elle en a vu, des gosses qui auraient tuer leurs parents pour leur abandon. après avoir passé sa vie sans attache, lys n'a pas souhaiter s'attacher à sa mère. Elle ne sait pas comment elle est née, bien que l'histoire est plus dérangeante que celle qu'elle imagine, elle ne s’intéresse pas vraiment à sa mère car elle ne lui fait pas confiance. et elle porte en son fort intérieur une colère qu'elle n'arrive pas à extérioriser, dans le fond, elle ressemble trop à cette déesse. Ainsi, elle apporte les offrandes par respect, mais ne rentre jamais en contact avec elle.
<hr>
<w>ton arrivée à la colonie -</w> lors de sa rencontre avec perséphone, elle a été suppliée de ne pas utiliser ses dons sombres. couverte de présents. le seul qu'elle affectionne particulièrement est une paire de boucles d'oreilles faites de lys aubergines, figés dans le temps. elle n'eut pas de grandes surprises lorsqu'elle a découvert l'existence du camp. Elle fut simplement déstabilisée par ses origines, cependant, comme son contrôle était aléatoire depuis des années, elle se doutait qu'elle n'était pas "normale" (ou alors elle était cinglée mais elle préferait l'autre option.) elle s'est assez vite acclimatée au camp, secrètement ravie d'accéder aux Etats-Unis, et soulagée de ne pas être jugée par sa maitrise légère des ombres et des plantes. Aujourd'hui, elle excelle dans ces deux arts. .</div></td><td><img src="https://i.imgbox.com/gyPkgRFc.png" class="avatarfiche"></td></table>
<img src="http://68.media.tumblr.com/3eb343d73e4a56cef1f244f267c8deb1/tumblr_oro9ssC4rI1rdlm3eo8_r1_250.gif" class="gifstory3"><div class="cadrefiche"> <w>prénom et pseudo - </w> ankara, clémence <w>âge - </w> 22 hivers. <w>pays - </w> france. <w>personnage inventé/scénario - </w> inventé <w>forum connu grâce à -</w> bé et momo les queens <w>un commentaire - </w>  :sapristi: </div>

<center><div class="cadre1"><div class="rangfiche"> <center>© WAR OF GODS 2017</center></div></center>
</div></center>

<center><div class="annexes"><center>
<div class="cadre1">
<div class="pseudo">Frôler la vie</div>
<div class="rang">mais grandir dans la nuit<br>
</div></div><br><center><img src="http://68.media.tumblr.com/dd18ec33cdcacd359c3778dda8472d27/tumblr_o63q63xoiN1vna1j1o2_500.gif" class="cadre1"></center>
<div class="cadre1"><blockquote><w>ENFANT(E) - </w>Elle frémit, dans son lit d’enfant, les poils se dressent et ses phalanges blanchissent à la force de sa poigne. La gosse a peur, elle est terrifiée. Elle s’est encore énervée. Elle n’a pas fait exprès, mais son ombre a mangé celle de la petite Morin. Littéralement dévoré. La veilleuse fredonnait toujours une musique stridente mais plus aucunes ombres n’étaient portées sur les murs de glace de l’orphelinat. Et la gamine hurlait encore et encore, cette image cauchemardesque dans la tête. Toutes les filles du dortoir l’avaient vu se lever, et dévorer, les bras en premier, la tête en dernier, la forme noir allongée de candice sur le papier peint immaculé. « Elle est bizarre, elle bégaye dès qu’elle parle ! » les rires des pauvres âmes résonne dans le cerveau de lys. Les ombres sont toutes rangées sous son lit, monstres de la nuit. Elle aurait voulu éviter un énième conflit, elle savait qu’elle allait encore être privée de desserts, avec ses bizarreries. Mais la fleur était sortie de ses gonds, elle n’avait pas pu se contenir. L’explosion de colère la faisait trembler. « Candice, que se passe-t-il ? » la brune prostrée en larmes tend son doigt boudiné vers la fille de Perséphone. Les lèvres serrées, elle attend la sentence. « Que s’est-il passé, les filles, répondez-moi ! » La nourrice rougit, elle n’aime pas être tirée de son sommeil. Toutes simulent un réveil forcé, les yeux papillonnent et les bouches s’étirent. « Candice a du faire un cauchemar. » Et toutes acquiescent. C’est le début de la terreur. Dès que lys agite ses lèvres, dès qu’elle déplace un de ses membres, elle n’entend qu’un grand silence. Et seuls leurs murmures derrière son dos lui servent de paroles : monstre qu’elle est pour les gosses qui entourent la poupée. Ainsi la paranoia commence, le pétale s'effrite aux doux sons des messes basses.</blockquote></div><img src="http://68.media.tumblr.com/2098c488ccd021e7370972f407962399/tumblr_onk9d0qX5l1s1bwvio10_500.gif" class="gifstory"><img src="http://68.media.tumblr.com/d65a804f9d821317e0abbc2b65f0ff8a/tumblr_onk9d0qX5l1s1bwvio7_500.jpg" class="gifstory"><img src="http://68.media.tumblr.com/4a7a54e28b71e46cfabfdf0c2cbb81d6/tumblr_onk9d0qX5l1s1bwvio4_500.jpg" class="gifstory">
<div class="cadre1"><blockquote><w>(A)D(OL)ESCENTE - </w>A force de grandir, telle la fleur qu’elle est, son articulation s’améliore, les mots lui s’échappent de la bouche avec un plus grand naturel, elle a compris que l’humain est inoffensif seul, mais terrible à plusieurs. Ainsi, en famille d’accueil depuis 6 ans, elle avait voyagé dans toute la France avant que les services sociaux comprennent qu’il lui fallait une famille sans autre enfant. La voilà dans un petit village normand, où les jours de pluie sont plus nombreux que les habitants. La pauvre enfant s’acclimate enfin à une vie plus tranquille, bien qu’elle en reste aux crises de panique lorsqu’il lui faut se présenter en public. Le souffle court, les bras qui tremblent, les ombres dansent quand elle ne contrôle plus rien. Au lycée, elle frôle les dix-huit étés, son baccalauréat presqu’en poche, c’est le dernier entrainement d’anglais, langue qu’elle pratique avec une grande facilité depuis des années, cependant, face à son public boutonneux, la gamine panique. Elle imagine leurs visages se tordre de rire devant son échec, se moquer consciemment de son phrasé, de son accoutrement. Elle n’était pas laide, et plutôt proche des standards de beauté, mais ses travers ne laissaient personne s’approcher trop près. Ce matin-là, elle était bien décidée à arranger ses problèmes mentaux et à réussir à parler sans paniquer. Elle restait debout, droite telle une plante verte, et elle ne fixait que l’arbre par la fenêtre. Elle déclamait sans y réfléchir, tout en offrant des bourgeons éclatants à l’arbre face à elle. Quand il se dressa le long de la cime de l’arbre, elle pensait qu’elle l’avait créé de toute pièce avec les ombres, de panique. Jusqu’au moment où il traversa le mur pour laisser ouvrir une gueule terrifiante. Lys écarquille les yeux, et son instinct de survie lui susurre de courir. Elle oublie sa note, la honte, elle fui, l’estomac retournée, elle se tapie dans un placard à balai. Elle tente de ne pas faire de bruit, les larmes menaçant de s’écouler, et cherche une arme pour se défendre. Elle ne trouve qu’une malheureuse cuillère, qu’elle serre entre ses paumes telle une épée. La porte s’ouvre, et elle voit la silhouette carré d’un garçon de sa classe. « Dégage, Ciryl, c’est mon placard ! » Il la pousse au fond, s’installe et la juge d’un battement de cil. « La ferme Lys, tu pues à des kilomètres depuis des mois. » la gosse se raidi, leve sa cuillère et menace le type de sa cuillère, folle de rage. « Retire ça tout de suite ou je t’arrache l’œil ! » Une vraie histoire d’amitié dès les premières secondes….
</blockquote></div>
<img src="http://68.media.tumblr.com/5bbd3a4121200b49ce798dd6f57012a6/tumblr_orcoueqO2U1vgurwro7_250.png" class="gifstory"><img src="http://68.media.tumblr.com/0ddd71ea9d26bd639f1030b1f6974165/tumblr_orcoueqO2U1vgurwro5_250.png" class="gifstory"><img src="http://68.media.tumblr.com/12b3b0d217b43dce8641b1b0adbe426f/tumblr_orcoueqO2U1vgurwro1_250.png" class="gifstory">
<div class="cadre1"><blockquote>
<w>ADUL(T)E - </w>Le français sonne aujourd’hui comme une ancienne page de sa vie. La fleur reste une éternelle angoissée, cependant déterminée. Elle s’accorde quelques moments dans le monde des mortels pour voler quelques bandes dessinées au passage, et manger de la meringue à la violette. Avec ses semblables, elle se sent un peu moins à côté, bien que toujours épiée. Sa confiance n’est rarement donnée et très vite reprise. Si elle ne doute pas d’elle-même et de ses capacités, elle ne supporte pas la race mortelle, traitrise suprême sur mensonges éhontés, elle rêverait tant d’avoir la capacité de déceler les pervers qui tentent de se jouer d’elle. Vaut mieux ne pas laisser de chance, de partir le soleil levé, de s’éclipser lorsqu’ils sont trop nombreux. Si elle peut sonder une ombre, cinq ou dix lui semblent impossible. Elle n’a besoin que d’elle-même, et de ses pouvoirs presque maitrisés, bien qu’elle perde ses moyens lorsqu’elle doute en quelqu’un. Sa paranoia a forgé a vie depuis toujours, telle une compagnon de route, elle la protège des assauts mal imaginés des âmes effrontés. Personne ne pourra la détruire, car elle porte en son esprit une cuillère aiguisée, toujours prête à attaquer, à se venger.</blockquote></div></center>
<div align="center" class="pseudo2"> © WAR OF GODS 2017

</div></div></center>